• Un changement de paradigme – l’élimination des dangers au lieu de la réduction des risques. Par exemple l’élimination des sur-accidents (changement de phase, production de gaz, explosion, etc…) ce qui a pour conséquence l’élimination du risque de contamination radiologique du public
  • La réduction importante du problème des déchets radioactifs (durée de vie, quantité) les rendant gérables à échelle humaine
  • Le faible coût de la technologie du fait d’une conception simplifiée
  • La simplification du processus d’obtention de licence d’exploitation
  • La possibilité de réduire les délais de construction du fait d’une architecture modulaire et simplifiée
  • La possibilité de mettre en place de petits réacteurs disposés stratégiquement près des centres industriels ou des zones d’habitation pour une meilleure efficacité énergétique
  • Ces petits réacteurs peuvent aussi être implantés en grand nombre sur un seul site pour un usage plus souple (montée en puissance du site, maintenance par module, pays en cours de mise en place d’un parc nucléaire et du réseau électrique associé, etc…)
  • L’efficacité énergétique supérieure de la technologie (energy return / energy invested) comparée à toutes les technologies existantes (nucléaire actuel, renouvelables ou fossile)
  • La température d’exploitation élevée qui ouvre d’autres marchés que l’électricité : chaleur industrielle, production d’hydrogène, chauffage urbaine, dessalement de l’eau de mer, production de carburants de synthèse …
  • La possibilité d’implanter ces centrales dans des pays sans le savoir-faire nucléaire (ex : pays en développement) mais ayant des besoins en énergie important. La sûreté inhérente et le plus faible coût le permettant.
  • La possibilité de faire varier très rapidement la puissance du réacteur sur une large gamme ce qui permet de suivre efficacement l’intermittence des énergies renouvelables (complémentarité des deux types d’énergie).